Page:Corbière - Les Amours jaunes, 1873.djvu/200

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— Ne ruolze plus ça, toi, grand Astre stupide !
Tas de pâles voyous grouillant à se nourrir ;
Ce n’est plus le lézard, c’est la sangsue à vide…
— Dernier lazzarone à moi le bon Dormir !


(Napoli — Dogana del porto.)