Du pré de mon grand-père il fait encore le coin,
Et l’on m’a dit que c’est un infaillible signe
Que d’un si rare hymen je viens en droite ligne.
Vous ne m’en croyez pas ?
De vrai, c’est un grand point.
Aurois-je tant d’esprit, si cela n’étoit point ?
D’où viendroit cette adresse à faire vos messages,
À jouer avec vous de si bons personnages,
Ce trésor de lumière et de vivacité,
Que d’un sang amoureux que j’ai d’eux hérité ?
Tu le disois tantôt, chacun a sa folie :
Les uns l’ont importune, et la tienne est jolie.
Scène II.
[1],
Ma sœur…
[2]
Dont vous tenez l’honneur, dont vous tenez la vie ?
Qu’avez-vous fait ?
Un coup dont tu seras ravie.
- ↑ Toutes les éditions donnent ce prisonnier. Voltaire (1764) y a substitué : un prisonnier.
- ↑ Var. MÉL. Avec ? CLÉAND. Avec Dorante. MÉL. Avec ce cavalier. (1645-56)
médie pastorale, où les amours d’Astrée et de Céladon sont meslées à celles de Diane, de Sylvandre et de Paris, par le sieur de Rayssiguier… 1630, Sémire ne paraît même pas.