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ACTE IV.
Scène première.
Le vieil HORACE, CAMILLE.
Le vieil HORACE.
Ne me parlez jamais en faveur d’un infâme ;
Qu’il me fuie à l’égal des frères de sa femme :
Pour conserver un sang qu’il tient si précieux,
Il n’a rien fait encore s’il n’évite mes yeux.
Sabine y peut mettre ordre, ou derechef j’atteste
Le souverain pouvoir de la troupe céleste…
CAMILLE.
Ah ! Mon père, prenez un plus doux sentiment ;
Vous verrez Rome même en user autrement ;