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que) l’on épuise[1] avec un vase ; les cuirasses prises (furent au nombre de) plus de dix mille ; des approvisionnements et des armes, on ne peut dire le nombre. En revenant, l’armée prit la ville de Sa kou, la ville de Rou ; revenir…… soldats (ou capitale)……ville forte.

En la vingtième année, kyeng syoul, le Pou ye oriental, qui était jadis un peuple dépendant du roi Tchou mou, se révoltant, n’apporta pas le tribut. Le Roi en personne conduisant toute son armée, se rendit à la ville (capitale) du Pou ye et le Pou ye, levant les (chars à) deux chevaux du royaume…..la ville de Na ? La bienfaisance du Roi s’étendit sur toute la région. Alors il retourna. De plus, ceux qui adoptant la civilisation vinrent suivre[2] les fonctionnaires, (furent) Mi kou rou ap ro[3], Pi să ma ap ro, ? [4] rip rou ap ro, Syouk să sya ap ro, ??? ap ro.

En tout, les villes fortes qu’il prit (sont au nombre de) soixante-quatre, les villages (au nombre de) quatorze cents.

GARDES DES TOMBEAUX, LISTE DES FEUX.

Peuple de Mai kou ye……

gardes généraux.2 gardes.3

Tong häi ka.

gardes généraux.3 gardes.5

Heelhal


1. Je traduis 湯, htang, comme s’il y avait 湯, htang ; 稚, tchi, est par erreur pour 獲, hoik.

2. 有, toa, pour 隨 syou.

3. 鴨盧, ap ro, désigne probablement une fonction ; on trouve au Ko kou rye le titre officiel de täi ro, 對盧.

4. Le caractère chinois ne se trouve pas.

5. L’expression 守墓人烟戶 « feux, nombre de familles des gardes de tombeaux » s’explique facilement. Les titres kouk yen 國 烟 et kan yen, 看烟, sont moins compréhensibles ; les premiers sont évidemment supérieurs aux seconds. Quant à to yen, 都烟.

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