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NOTES.

copie assez défectueuse. Corrigez, percotevano le carene. Au commencement du quatrième livre, on lit : avea dall’dei lati un alberetto, lisez un albereto. Et dans le deuxième livre, Daphnis, plaidant sa cause devant Philétas, dit : non fu mai che pure uno solo di questi vicini si rammentassero che in loro orto entrasse una mia capra. Lisez si lamentassero.

P. 80, l. 19. « Du haut de la roche. »

Ἠκούετό τις ἀπὸ τῆς ὀρθίου πέτρας, τῆς ὑπὲρ τὴν ἄκραν. Cette phrase ne laisse aucun lieu de douter qu’il n’ait nommé plus haut la roche dont il parle, en désignant sa situation au-dessus du promontoire. De même dans le premier livre : ἰδεῖν ἐδόκουν τὰς Νύμφας ἐκείνας, τὰς ἐν τῷ ἄντρῳ, c’est-à-dire, « Ces Nymphes dont je viens de parler, et que j’ai dit être dans l’antre. » C’est une de ces façons de dire qu’il imite de Xénophon et des Socratiques.

P. 81, l. 12. « Pour quelque méfait. »

Amyot : « Pour quelque maléfice. »

P. 82, l. 4. « Ni à moi aussi. »

On disoit du temps d’Amyot ni moi aussi, pour ni moi non plus.