Page:Courier Longus 1825.djvu/256

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τὴν πόλιν διασώσασθαι. De même encore à la page 126, οἱ δὲ ἐπηγγέλλοντο μεγάλα, le même manuscrit ajoute εἰ ταῦτης τύχοιεν, explication fort inutile.

P. 129, l. 12. « Promettoient.... »

Dans l’édition originale d’Amyot : « promettoit, » faute d’impression, que l’on a mal corrigée depuis.

P. 130, l. 5. « Fais tant envers Chloé... »

C’est la phrase d’Amyot. Journal de l’Étoile, tome IV, page 194 : « Le roi fit tant envers le pape qu’il en obtint le payement. » Amyot, Vie d’Artaxerxès : « Mais il supplia tant sa mère et fit tant par ses larmes et prières envers elle...... »

P. 131, l. 11. « Une bourse de trois cents écus. »

Le grec dit « de trois mille drachmes. » Ceci paroît pris de la vieille fable attribuée à Ésope : « Un homme étoit pauvre. Les Dieux lui apparurent en songe, et lui dirent : Va au bord de la mer, en tel endroit ; tu y trouveras mille drachmes. »

P. 135, l. 5. « Combien que d’autres lui offrissent beaucoup pour l’accorder. »

Traduction d’Amyot. Toutes les éditions, et