Page:Courouble - Le Mariage d'Hermance (La famille Kaekebroeck), 1905.djvu/137

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
133
LE MARIAGE D’HERMANCE

corrosif destiné à le sécher, à l’émietter, à le pulvériser !

— Pauvre homme, murmura Ferdinand, il est mort à la peine !

On dut s’incliner devant le témoignage digne de foi de Thérèse.

— Qu’est-ce qui aurait jamais cru ça ! s’apitoyait Adolphine consternée. Pauvre Mme Timmermans, elle doit être si malheureuse pour s’asseoir…

— Mais non, dit Ferdinand avec bonhomie, elle la relève en trompette !

— Och, taisez-vous, vous ! répliqua Adolphine qui ne pouvait tout de même s’empêcher de rire. — Ça est déjà assez triste…

— Il faut avouer aussi, déclara alors M. Platbrood avec solennité, que cette Mme Timmermans est d’une naïveté qui dépasse les bornes ! Est-ce qu’on fait de semblables confidences sur les particularités, je