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PAULINE PLATBROOD

secoués de sanglots, éperdus tous deux de tendresse et de deuil…

Alors le bon Joseph Kaekebroeck prononça ces paroles prophétiques :

— Pleurez, pleurez, mes chers amis ! Soulagez vos cœurs ! Mais songez que le brave père Cappellemans vous voit et s’attriste de votre chagrin. Consolez-vous… Il y aura encore de la joie… M. Platbrood pardonnera à Pauline et, c’est moi qui vous le dis, vous vous marierez aux noces d’or de Bon-Papa et de Bonne-Maman Van Poppel !