Page:Courteline - Les Linottes, 1899.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


AVANT-PROPOS


De tous les livres que j’ai écrits, il n’en est pas qui m’ait donné plus de joie et de douceur à l’écrire que celui dont les pages suivent et dont chaque phrase, chaque ligne, chaque syllabe est un rappel des heures lointaines qui furent les débuts de ma vie. C’est à Montmartre que je les vécus, ces heures,