Aller au contenu

Page:Courteline - Messieurs les ronds-de-cuir, 1893.djvu/9

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

À MON AMI

À MON MAITRE, À MON BIENFAITEUR

CATULLE MENDÈS
En témoignage d’admiration profonde
et affection sans bornes.

G. C.