Page:Couvreur - Les quatre livres, 1895.pdf/46

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affaires publiques, il en résulte de grands malheurs et de grands dommages. Quand même il resterait des hommes vertueux, il leur serait impossible de remédier au mal. C’est ce qu’on exprime en disant : « La justice est beaucoup plus profitable à l’État que les revenus. »

Ce dixième chapitre du commentaire explique comment « un prince, en gouvernant bien sa principauté, procure la paix à tout l’empire ».

Le commentaire contient en tout dix chapitres. Dans les quatre premiers, l’auteur explique le sens et le but des principes généraux et, dans les six derniers, le travail que demandent les règles particulières. Dans le cinquième, il fait connaître la nécessité de discerner le bien et, dans le sixième, le fondement de la perfection. Ces deux chapitrer exigent des commençants une attention spéciale. Le lecteur ne doit pas les mépriser à cause de leur simplicité. (Tchou Hi)


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