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les officiers de troisième classe. Les officiers de troisième classe recevaient autant que les hommes du peuple engagés dans les emplois publics. Les revenus de ces derniers étaient équivalents au produit des terres qu’ils auraient cultivées (s’ils n’avaient pas été occupés dans les emplois publics).

« Dans une principauté de second ordre, dont le territoire avait soixante dix stades en tous sens, le prince recevait dix fois plus que les ministres d’État ; les ministres d’État, trois fois plus que les grands préfets ; les grands préfets, deux fois plus que les officiers de première classe ; les officiers de première classe, deux fois plus que les officiers de deuxième classe ; les officiers de deuxième classe, deux fois plus que les officiers de troisième classe. Les officiers de troisième classe recevaient autant que les hommes du peuple engagés dans les emplois publics. Le traitement de ces derniers était équivalent au produit. des terres qu’ils auraient cultivées (s’ils n’avaient pas été dans les emplois publics).

« Dans une petite principauté, dont le territoire avait cinquante stades en tous sens, le prince recevait dix fois plus que les ministres d’État ; les ministres d’État, deux fois plus que les grands préfets ; les grands préfets, deux fois plus