Cette page a été validée par deux contributeurs.
Les deux hommes ensemble.
Et nous le répéterons !
Catarina.
Eh bien ! drôles ! commencez par redire ceci à votre maître : que je le hais et le méprise ; que son âme est aussi noire que votre visage…
Laodice.
Et que jamais nous ne tromperons notre mari avec un homme aussi laid que ça !
Catarina.
Bien dit, Laodice ! viens, et retirons-nous dans le boudoir olive ! (Elles sortent.)
Scène IV
LES DEUX HOMMES MASQUÉS.
Franrusto.
Dis donc…
Astolfo.
Hein ?…
Franrusto.
Dans le boudoir olive, Astolfo !
Astolfo.
Oui, dans le boudoir olive, Franrusto !
Franrusto.
La malheureuse !… c’est là que l’attend notre maître !
Astolfo.
Oui, ma foi !…
Franrusto, riant.
Oh ! oh ! oh !
Astolfo, riant.
Oh ! oh ! oh !
Franrusto.
Chut !
Astolfo.
Quoi donc ?