Page:Cros - Le Collier de griffes, 1908.djvu/68

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Cette haie où l’on a jeté chemise et robe,
Ce corps qui tour à tour s’avance ou se dérobe,
Ces seins dont la fureur fait se dresser les bouts,

Ces battements de fer, ces sifflantes caresses,
Tout paraît amuser ce jeune homme à l’œil doux
Qui fume en regardant se tuer ses maîtresses.