Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
je courus à elle et je la fis asseoir.
« Cette lettre est-elle bien de vous ? » me dit-elle enfin.
» Je gardai le silence.
» — Vous n’avez pas réfléchi aux conséquences du parti que vous prenez.
» — Je ne suis plus libre d’en choisir un autre.
» — Vous vous perdez de réputation, non-seulement dans ce pays, qui n’est pas le vôtre, mais à Paris, mais partout où votre nom, où le nôtre aura pénétré ; le monde ne pardonne pas une conduite déloyale, quand elle est inconséquente.
» — Avant de me décider au parti que