Page:Custine - La Russie en 1839 troisieme edition vol 4, Amyot, 1846.djvu/469

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qu’éprouve le voyageur pour arriver à la vérité. — Promenade en voiture avec le gouverneur. — Vue de la foire prise du haut d’un pavillon chinois. — Valeur des marchandises. — Préjugés inspirés au peuple par son gouvernement. — Portraits de certains Français ; leurs ridicules en pays étranger. — Rencontre d’un Français aimable. — Société réunie pour dîner chez le gouverneur. — Les femmes russes ; la femme du gouverneur. — Bizarrerie anglaise. — Anecdote racontée par une Polonaise. — À quoi servent les manières faciles. — Promenade avec le gouverneur. — Sa conversation. — Employés subalternes : ce qu’ils sont dans l’Empire. — Deux aristocraties : la moderne et l’ancienne. — Quelle est la plus odieuse au peuple. — Mon feldjæger. — Drapeau de Minine. — Manque de foi du gouvernement. — Église déplacée, malgré le tombeau de Minine qu’elle renferme. — Pierre le Grand. — Erreur des peuples. — Caractère français. — La vraie gloire des nations. — Réflexions sur la politique. — Le Kremlin de Nijni. — Vente des meubles du palais des Empereurs au Kremlin de Moscou. — Couvent de femmes. — Camp du gouverneur de Nijni. — Manies des manœuvres. — Chant des soldats. — Église des Strogonoff à Nijni. — Vaudeville en russe.


page 213 à 259.
Assassinat d’un seigneur allemand. — Jusqu’où les Russes portent l’aversion des nouveautés. — Désordres partiels : leurs conséquences. — Influence du gouvernement : cercle vicieux. — Servilité gratuite des paysans. — Contradiction entre les institutions et les coutumes. — Illusion des serfs russes. — Exil de M. Guibal en Sibérie. — Histoire d’une sorcière. — Mot d’un grand seigneur, petit-fils d’un paysan. — Manière dont un jeune étranger malade est traité par ses amis russes. — Accident arrivé à une