Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/143

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      « Clic, clac, clic, clac. Dieu me pardonne,
      Ceci lui fait plaisir, je crois.
   Clic, clac, clic, clac, et ces gifles, ma chère,
   Clic, clac, clic, clac, font-elles votre affaire ?
      Mais ne sentez-vous rien, vraiment ?
   Vous vous taisez, nous allons, ma divine,

Puisque ceci pour vous n’est qu’un amusement,

            User d’une autre discipline.

Clic, clac, que dites-vous des verges que voici ?
   Clic, clac, ah ! vous goûtez bien mieux ceci !
      Ceci vaut mieux que la lanière,
      Ça déchire un peu le derrière.
      Mais pourquoi criez-vous merci ?
      Ne prenez donc pas cette peine,
      Votre gros cul n’a pas fini,
      Ma charmante, d’être béni.
      Clic, clac, il aura la centaine,
      Clic, clac, il la lui faut, ma reine,
      Clic, clac, oui pour vous l’écorcher,
      Clic, clac, et pour vous le hacher — ».

La sœur Tourment toujours crible et flagelle
      Rageusement le beau satin,
      Qui fume et rougit de plus belle.