Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/168

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bientôt repris ses lis éblouissants, grâce à l’application d’un baume spécial, souverain contre les meurtrissures.

Lady Birchlike, que l’exercice auquel elle vient de se livrer a mise en train, demande à éprouver les douceurs de la discipline. Elle choisit encore lady Loverod pour sa partenaire. Elle se déshabille donc ainsi que ma maîtresse, ne gardant que leurs bas de soie et leurs petits souliers pointus.

Cette fois on n’attache pas les deux patientes, qui prennent une posture originale. Lady Birchlike se tient debout, les jambes écartées, lady Loverod s’agenouille devant le verger de Cypris, et vient pratiquer accroupie les passades lesbiennes. Ses belles fesses veloutées reposent sur les talons, débordant des deux côtés en saillies opulentes, rebondissant en arrière sous la cambrure des reins s’offrant dans un épanouissement que je ne lui connaissais pas, moi qui les tripote tous les jours. La présidente a une superbe croupe, d’une blancheur de neige, étincelante comme du satin. Derrière les deux volontaires, lady Younger, et lady Pretty, qui ont revêtu un