que la tête ; elle appuie son front sur le siège,
et relève ses jupes sur ses reins. Un superbe
relief bombe la toile du pantalon, tendu sur
d’opulentes rondeurs. La maîtresse fait entrer
la chemise qui pend par la fente, la repousse
dans le haut, et ordonne à la patiente d’écarter
elle-même la fente de son pantalon. Celle-ci
s’exécute ; elle tire sur les bords, et par l’ouverture
ainsi élargie, jaillit un coin de chair
blanche et rose, forçant la fente, mais insuffisamment
encadrée pour bien recevoir la verge.
« Ôtez votre pantalon, mademoiselle, dit madame Tannecuir, je ne puis pas vous fouetter ainsi. »
La belle fille se relève, passe sa main sous ses jupes, déboutonne son pantalon, le laisse glisser jusqu’aux pieds, en sort, revient s’agenouiller sur le coussin, appuie son front sur la chaise et relevant brusquement tous ses dessous elle découvre en entier un superbe postérieur blanc et rose, de la plus riche carnation, étalé de telle sorte, que ses deux belles fesses potelées, charnues, satinées, s’épanouissent dans leur splendide plénitude, offrant un vaste champ de bataille. Juliette, la verge à la main, le teint animé, les yeux brillants