Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/89

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les verges, se serrant, se desserrant, montrant comme dans un éclair le petit point noir au bas de la raie.

Mon œil quitte un moment la croupe, descend complaisamment le long du corps de Juliette ; la gorge en arrêt, à peine soulevée par le léger souffle qui l’agite, berce ses roses vermeilles, son gros chat noir, agité de petites secousses, saute sur le ventre ; entre les cuisses écartées, la fente qui bâille, laisse voir le bouton vermeil sur le bord. Je remonte vers la croupe, que je crible de coups sévères, qui n’ont pour effet que de la faire sauter en des bonds merveilleux, sur la figure de Juliette, et de faire gigoter convulsivement les belles fesses empourprées.

Le bras droit de Juliette quitte la croupe, s’allonge et reste collé le long du corps. D’abord, je n’y prends pas garde, occupé que je suis sur le cul d’Hélène ; mais bientôt l’agitation du bras attire mon attention. J’explore de nouveau les régions Cythéréennes ; l’ardente Juliette, qui a glissé un doigt dans sa fente, s’offre une petite compensation. Mon premier mouvement est de déloger le doigt usurpateur, et de prendre sa place ;