Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/168

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regardant en bas, très intéressée par ce qui se passe dans la cour, vêtue d’un simple cotillon, qui laissait voir le bas d’une fine jambe, sous la jupe relevée par l’enflure du bas des reins.

Je m’approche à pas de loup, m’arrêtant devant cette croupe engageante, dont je reconnais bien le volume, me réjouissant à l’avance du petit cri d’effroi qu’elle ne va pas manquer de pousser quand elle sentira mon museau se glisser sous ses jupes.

Je retiens mon souffle, je me penche, soulevant un peu les jupes, et je plonge vivement jusqu’en haut, appliquant un baiser bruyant au bas des deux fesses blanches, qui me répondent par un… bruit sonore, produit par l’émotion qui a fait écarter brusquement les tendres fesses apeurées, qui me repoussent, essayant de me déloger à coups de croupion bien appliqués ne devinant pas quel est le visiteur qui les salue. Je suis un peu surpris que la soubrette ait changé son parfum ordinaire pour celui de sa maîtresse, et j’émerge de dessous les jupes, me relevant pour jouir de sa surprise et de sa confusion.

Quel tableau ! Quand je veux embrasser Gracieuse, je rencontre l’œil foudroyant de la baronne Hermine, que sa tenue matinale m’avait