Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/28

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sa croupe bondissait, que son con se tordait sur le prisonnier, mais soudain devinant que l’orage va crever, elle se dégage d’un brusque coup de cul, et reçoit ma décharge entre ses cuisses serrées sur ma colonne, qu’elles frottent vigoureusement.

Elle s’y était prise à temps pour éviter un accident, j’étais tellement enserré dans l’étau qui lui sert de con, que je n’aurais pas pu me dégager tout seul sans son aide. Elle le savait bien, que ses pinces étaient comme des tenailles, aussi, dès qu’elle a joui, car elle jouit toujours la première, dans sa promptitude remarquable, elle se dégage toujours à temps.

Après s’être essuyée superficiellement avec une poignée de foin, elle me permit, ayant constaté l’état brillant du serviteur, de la reprendre à mon gré. Je l’installai dans une posture qu’elle ne connaissait pas, n’en ayant jamais pris d’autre avec son « promis », que celle dans laquelle je venais d’apprécier son habileté remarquable, je la fis mettre à genoux pour avoir son beau derrière sous mon ventre. Ses fesses étaient en moiteur et le vallon satiné, qui les coupe en s’élargissant, luisait de perles de sueur accumulées au bas de la raie, à l’entrée de la sente qui fuit entre les cuisses. Ici encore j’avais une superbe croupe à heurter, elle