Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/67

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une ses hontes nues. Enfin, à force d’insister et de lui répéter que la langue était incomparablement plus aimable que le doigt le plus expert dans cette affaire, il fut convenu que la Roussotte l’accompagnerait le lundi suivant, elle la mettrait au courant de nos relations.

Mais auparavant, je voulais essayer de la prendre, comme elle s’était présentée tout à l’heure, maintenant ce serait plus praticable, et c’est une posture bien avantageuse pour offrir le chat à l’amie agenouillée devant l’autel, mais ce sera pour la prochaine visite, je serais incapable en ce moment de mener l’expérience jusqu’au bout.

Je revins après une heure de repos, je fus vite en état. Elle vint à reculons s’asseoir sur le clou dressé, que je tenais vertical dans ma main comme un cierge. Elle écartait les bords, la pointe s’y incrusta, puis le gland entra, elle descendit sa croupe, engloutissant le bâton dans ses fesses sous lesquelles je le tenais. Elle voyagea un moment, se dressant sur la pointe des pieds, montant et descendant, pendant que je lui chatouillais le bouton. Quand elle sentit que le terme était proche, elle s’assit sur mes cuisses jouissant en tortillant ses fesses sur ma queue engloutie, qui se dégorgeait pressurée par les parois rétrécies.