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LE PARADIS.


NOTES DU CHANT TROISIÈME


3-3-1. Béatrice.

3-3-2. Narcisse qui, se voyant dans une fontaine, devint amoureux de lui-même, prenait son image pour une personne réelle, et Dante prenait des personnes réelles pour de simples images.

3-3-3. La Charité divine.

3-3-4. Elle était de la famille des Donati, et religieuse de Sainte-Claire, sous le nom de Constance ; son frère Corso l’enleva du couvent, et la força de se marier.

3-3-5. Selon le système astronomique adopté par Dante, tous les cercles concentriques accomplissant, dans le même espace de temps, leurs révolutions autour de la terre, leur vitesse est d’autant plus grande qu’ils en sont plus éloignés, et par conséquent le mouvement de la Lune, plus rapproché de notre planète qu’aucun autre corps céleste, est le plus lent de tous.

3-3-6. En Dieu, qui est le premier amour.

3-3-7. « De vouloir ce que Dieu veut, pour que nous n’ayons nous-mêmes qu’une volonté. »

3-3-8. De sphère en sphère.

3-3-9. Image prise des fleuves qui se rendent à la mer, pour y trouver la paix, le repos.

3-3-10. Quel fut le vœu qu’elle n’accomplit point jusqu’au bout.

3-3-11. Sainte Claire.

3-3-12. « Entend que je le dis aussi d’elle. »

3-3-13. Elle fut toujours de cœur fidèle à ses vœux.

3-3-14. La forme lumineuse.

3-3-15. Fille de Roger, roi de Pouille et de Sicile. Elle était religieuse dans un monastère de Païenne, d’où on la tira de force pour lui faire épouser l’empereur Henri V, fils de Barberousse. Elle eut de lui Frédéric II, dernière puissance, c’est-à-dire dernier empereur de la maison de Souabe.