Page:Darby - Le Nouveau Testament 1859.djvu/572

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dement que nous avons reçu du père[1]. 5Or maintenant, ô dame, je te prie, non comme t’écrivant un nouveau commandement, mais celui que nous avons en dès le commencement, que nous nous aimions les uns les autres : 6et c’est ici l’amour, [savoir] que nous marchions selon ses commandements. C’est ici le commandement, comme vous l’avez entendu dès le commencement, afin que vous y marchiez ; 7car plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent pas Jésus Christ venant en chair. Celui-là est le séducteur et l’antichrist. 8Prenez garde à vous-mêmes, afin que nous ne perdions pas ce que nous avons opéré, mais que nous recevions une pleine récompense. 9Quiconque se dévoie, et ne demeure pas dans la doctrine du christ, n’a pas Dieu. Celui qui demeure dans la doctrine du christ, celui-là a le père et le fils. 10Si quelqu’un vient à vous et n’apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison, et ne le saluez pas, 11car celui qui le salue, participe à ses mauvaises œuvres. 12Ayant beaucoup de choses à vous écrire, je n’ai pas voulu le faire avec du papier et de l’encre, mais j’espère aller vers vous et vous parler bouche à bouche, afin que notre joie soit accomplie. 13Les enfants de ta sœur élue te saluent[2].

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TROISIÈME ÉPÎTRE DE JEAN.

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L’ancien à Gaïus, le bien-aimé, que j’aime dans la vérité[3]. 2Bien-aimé, je souhaite par-dessus toutes choses

  1. litt. : selon que nous avons reçu commandement
  2. rec. ajoute : amen.
  3. ou : en vérité.