J’ai examiné trois crânes de Dorkings, dont un, appartenant à la sous-race blanche, m’a présenté le caractère remarquable d’une grande largeur des os frontaux, n’ayant sur leur partie médiane qu’un sillon médiocrement profond. Ce crâne, qui n’avait qu’une fois et demie la longueur
du crâne du G. Bankiva, était, comme largeur entre les deux orbites, exactement du double. J’ai examiné quatre crânes de Hambourgs (mâles et femelles), de la sous-race rayée, et un (mâle) de la sous-race pailletée ; les os nasaux sont très-écartés, mais d’une manière variable ; de sorte qu’il
reste, entre les extrémités des deux branches ascendantes des maxillaires supérieurs, qui sont un peu courtes, et entre elles et les os nasaux, des intervalles étroits couverts d’une membrane. La surface du frontal, sur laquelle s’appuient les extrémités des branches des maxillaires supérieurs,