Page:Daudet - Lettres de mon moulin.djvu/58

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
50
LETTRES DE MON MOULIN.

vent de la cabro de moussu Seguin, que se battégue touto la neui emé lou loup, e piei lou matin lou loup la mangé.[1]

Tu m’entends bien, Gringoire :

E piei lou matin lou loup la mangé.

  1. La chèvre de monsieur Seguin, qui se battit toute la nuit avec le loup, et puis, le matin, le loup la mangea.