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pour vous regarder venir, et de trouver au logis une petite fée, avec un grand tablier blanc, en train de vous battre une crème. (Il fait le geste.) « Qu’est-ce que c’est que ça, Henri ? » Ah ! mon pauvre vieux Franqueyrol, ce n’est pas pour toi qu’on en battra jamais, des crèmes comme celle-là.
Scène V.
MADAME JOURDEUIL, FRANQUEYROL.
madame jourdeuil, accourant du fond.
Voilà c’est fait !…
franqueyrol, arraché en sursaut à son rêve.
Ah ! eh bien ?…
madame jourdeuil.
Pas de mal… Je suis arrivée à temps.
franqueyrol.
Hum ! ça sentait pourtant bien le roussi.
madame jourdeuil.
Oh si peu de chose. (Approchant une chaise.) Voyons, maintenant, que je vous fasse ma confidence.
franqueyrol, comiquement.
Oh ! Oh ! une confidence…