Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/162

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ques instants. L’on m’y attend. Nous partons tous de grand matin. Tu feras part toi-même des événements à… ma femme ! acheva-t-il plus bas.

— Aucun message particulier ? Je t’en prie, André ?

— Aucun. Laisse-moi agir à ma guise, mon ami. C’est ta sœur, sans doute, mais moi… c’est la femme que j’aime ! Et je veux qu’elle vienne volontairement à moi ; je te le répète.

— Bien. André. Je vais aller jusqu’au Fort avec toi.


— Non. Car je pars pour le Fort dans quelques instants.