Page:Daveluy - Les holocaustes, 1935.djvu/89

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Les manœuvres adroites de Perrine enchantaient Charlot.

temps entre son frère et Perrine. La contrainte, la gêne, une certaine hostilité même, tout cela était disparu. Une camaraderie paisible avait pris la place de sentiments complexes et fort embarrassants. Oh ! sans doute, chez Perrine, il y avait envers André une indifférence, aussi sincère que blessante parfois, aux yeux de la