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LA GRANDE AVENTURE DE LE MOYNE D’IBERVILLE

nadiens, fatigués, s’attardent, se croyant protégés par les sauvages venus à la chasse : on n’en aura plus jamais de nouvelles. Plus tard, quarante hommes s’éloignent aussi. Sainte-Hélène va de l’avant, l’arrière-garde suit de loin. Quand les retardataires arrivent à Montréal, ils racontent que les Agniers des environs de Corlaer, prévenus par des fuyards, les ont rejoints et ont tué plusieurs de leurs compagnons.