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SECTION V. DES MACHINES ET DES MOTEURS.
y{M (f — <p')-+-S(?-H^')-t-^Q}r'sm. €.
io5j. On voit, par l'une ou l'autre des équations des deux
articles précédents, que la force accélératrice
'), la résistance due à la raideur de cette corde sera (1021 et 1022), — préc *" | a 9 -+- bS ( 0 -+■ £ | , quantités qu'il faut multiplier par le rayon r de l'arbre du treuil , et le- produit sera ajouté au deuxième membre des équations des art. (io55 et io56). io5o. Supposons que le mouvement est uniforme, ou qu'il CâiôUVm , S 1 1 1 „ , | , , 1 suppose nue le Î" a équilibre ; 1 un et 1 autre de ces deux cas donne p = o; et mouvement 'équation de l'art. (io55), préalablement multipliée par <p, de- '„ "ejîïf*» vient, en ayant égard à la raideur de la corde, équilibre. MR. « Sr -f- '-4- K" (a H- hS). • C'est la même équation trouvée «art. (io36), ou dans laquelle se trouve compris de plus le frottement provenant du poids Q de la machine. 1060. Si l'on fait, dans l'équation précédente , abstraction de la raideur de la corde qu'on substitue pour (1 -+- jÇy sa va- leur ^-j, art. (io52), et qu'on en tire la valeur de M; on aura 8r+ r' (S + Qjsin. C Il — sin. C 1061. Il est aisé d'appliquer toutes les équations précédentes Up»i»«i 11 1* r • t» uncaspartieu- au cas de la poulie, en y faisant r = R. lier aû mut. 1062. Supposons que le poids S, au lieu de monter vertica- ^* a^"^™ lement, clisse sur un plan horizontal avec frottement; on con- ter - • 1° »«i 1 * t • » • 1 Cil où le çoit aisément qu il opposera la même résistance qu un poids t reuii en em- qui monterait verticalement, et dont la pesanteur, au lieu d'être |^,^ u * nC o r p* <p S, seroit f <p S, puiseju'au lieu de la pesanteur absolue il ne ^"" 4 l î 1 * nho " iaut prendre que la portion de cette pesanteur à laquelle le frot- tement est égal; il ne s'agit donc, dans ce cas, que de substituer, dans le second membre des équations des art. (io55 et io56), la LU ij
