Page:De Théis - Oeuvres complètes, Tome 3, 1842.djvu/310

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ture ; enfin, on calcule, on réduit en système sa propre existence comme celle des autres, et on n’est plus frappé fortement que de l’idée d’employer agréablement pour les sens, le cœur ou l’esprit, suivant ses goûts ou son caractère, ce peu de jours qui nous sont accordés, et qui sont en effet devenus, pour l’homme qui a tout vu et tout éprouvé, le seul bien dont il puisse encore jouir.


FIN DE LA DEUXIÈME PARTIE