Page:Defoe - Robinson Crusoé, Borel et Varenne, 1836, tome 2.djvu/469

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Dernière Affaire.



ous trouvâmes les habitants pour la plupart payens et ne valant guère mieux que les Sauvages de l’Amérique. Leurs maisons et leurs villages sont pleins d’idoles, et leurs mœurs sont tout-à-fait barbares, excepté dans les villes et dans les villages qui les avoisinent, où ces pauvres gens se prétendent Chré-