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Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/176

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— Ah ! mon âme, mon beau vaisseau, romps les amarres !
Le risque est devant nous, mais nous tenons la barre ;
Et, quand on part n’ayant ni foi, ni sûreté,
Ni regrets, il est beau d’avoir pour adversaire
Toute la mer !