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II


« Rendez-moi cet exil où j’étais destiné,
Rendez l’isolement au vieillard incliné
Qui fuit une ville flétrie.
Orient, reprends-moi ! Paris m’est odieux,
Et je te reverrai, Gange mélodieux,
Sans avoir trouvé ma patrie.

« Ô fleuve, j’aime mieux tes rivages sacrés
Où le santal répand ses parfums azurés,