Page:Desbordes-Valmore - Œuvres complètes, tome 1, Boulland, 1830.djvu/193

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Cette couleur, autrefois adorée,
Ne doit plus être ma couleur ;
Elle blesse mes yeux, elle attriste mon cœur,
En retraçant l’espoir qui m’avait égarée.
Pour un objet plus frivole que moi,
Reprenez ce lien qui n’a rien de durable;
Celui qui m’enchaîna longtemps sous votre loi
Ne me parut que trop aimable !
Il est brisé par vous, et brisé sans retour :