Page:Desbordes-Valmore - Œuvres complètes, tome 1, Boulland, 1830.djvu/410

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Si je regarde les cieux,
Entre le ciel et mes larmes,
Elle voltige à mes yeux,
Plus tendre que le perfide,
Dont le volage désir
Fuit comme le flot limpide,
Que ma main n’a pu saisir.