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V.


La jeune et jolie personne était Nérestine qui, ayant monté l’escalier avec la légèreté d’un oiseau, se jeta toute essoufflée, comme une étourdie, dans les bras de Georgina.

— Ah ! que je suis contente, Georgina ! je vais au bal ! à ce beau bal déguisé où vous allez, n’est-ce pas ? le cœur me bat de joie,