Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, IV.djvu/362

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

}48 Correspondance. r, 518.

a eftre vni auec lame humaine, & non pas en vertu de celles qu'a la chair. Ainfi ie ne vois aucune ombre de difficulté en tout cela. Mais néanmoins ie me tiens très volontiers, auec vous, aux paroles du Concile, qu'il y eft eâ exifiendi ratione quant verbis exprimere vix 5 pojfumus.

CDXV1II.

Descartes a ***.

[Egmond, 1645 ou 1646?] Texte de Clerselier, tome I, lettre 116 [i\ partie), p. 528-53o.

Imprimée par Clerselier comme suite de notre lettre CCLXXXIX, du iy novembre 1642, ci-avant t. III, p. 5g4-5gj, « A vn Reue- rend Père lesuite ». Mais l'exemplaire de l'Institut donne cette indi- cation en marge : « autre lettre postérieure », sans dire non plus à qui elle s'adresse. Peut-être est-ce au P. Vatier, destinataire de la CCCLXXXIX' ? Mais Descartes parle, dans notre lettre précédente au P. Mesland, de « breues responses » (p. 346, l. S), qu'il envoie à des objections sur ses Principes. Or ici même (p. 35o, l. 26), il allègue le départ tout proche du courrier, pour s'excuser de sa brièveté. D'où cette conjecture que la réponse ci-dessous aurait été envoyée avec la lettre précédente et s'adresserait, comme elle, au P. Mesland. — Enfin, comme il est surtout question des Méditations, peut-être est-ce la réponse aux objections promises par Porlier en octobre 1645 {voir ci-avant p. 3 20, note a).

Pour ce qui eft de la diftin&ion entre l'efTence & Texiftence, ie ne me fouuiens pas du lieu ou i'en ay parlé 3 ; mais ie diftingue inter Modos propriè diclos, & Attributa fine quibus res quarum funt attributa ejje non \o

a. Meditatio V, p. 66 (Edit. 1642).

�� �