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Correspondance.


CDXXII.


Descartes a Clerselier.


Egmondl, 23 février 1646.

[A. Baiilet], La Vie de Monsieur Des-Cartes, tome II, p, 2S0.

Suite du passage rapporté lettre CDXX, p. 357-358 ci-avant.

« M. Clerfelier obtint encore depuis, que non feulement le nom de M. Gajfendi paraitrait partout par fa permission, mais qu'il adoucirait dans sa traduction certains termes de M. Descartes, qui, bien que tolérables en Latin, auraient été capables de choquer en nôtre langue M. Gajfendi, qu'il voulait raccommoder pour une bonne fois avec M. Descartes. Ce fécond service fut estimé ce qu'il valait par M . Descartes, qui par une lettre du 23 de Février 1646 [en marge : Lettr. MS. du 23 Févr.] remercia M. Clerfelier de vouloir bien être tout à la fois son Traducteur, son Apologiste & son Médiateur. » (Bailler, II, 280.)


CDXXIII.


Descartes a Mersenne.


Egmond, 2 mars 1646.


Texte de l'exemplaire de l'Institut, tome III, lettre S^, p. 487-489.

« La 56 des lettres de M. de la Hire » Inst.). Le n" 56 est écrit au-dessus de 28 barré, numéro d'un classement primitif à rebours. C'est le n' [49) de dom Poirier. L'original n'a pas été retrouvé, et la lettre reste incomplète, comme nous l'apprend la note marginale de l'exemplaire de l'Institut : « Voyez le reste de cette lettre dans la 56 e de M. de la Hire », tandis que Clerselier continue par la pièce CDXXIII bis ci-après. Au sujet de cette dernière, un autre annotateur nous dit : « Il me parait que le reste de cette lettre est celle