Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, IV.djvu/582

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^68 Correspondance.

reipondre, en la place de M r Hogheland, a la letre que vous luy auez efcrite touchant la Mufique de M r Bannius. l'en ay parlé a M r de Zuylichem & a M r Bloemert, qui m'ont tous deux affûté que Bannius n'a laiffé aucune chofe qui puiffe voir le iour. 5

Vous aurez maintenant receu la refponfe que i'ay faite au Roberual 1 . Excufez moy de ce que ie groflis encore ce pacquet de deux letres ; c'eft pource que i'efpere que vous voudrez bien prendre la peine de les adreffer, & qu'elles ne feront pas tant par les chemins 10 qu'a efté celle de M r le Marquis de Newcaftel, a qui ie fais refponfe b ; car il y a plus de 10 mois qu'elle eft efcrite, & il n'y a que 8 iours que ie l'ay receuë. le fuis,

Mon Reu nd Père,

Voftre très humble & i5

très fîdelle feruiteur,

DESCARTES.

D'Egmond, le 2} Nou. 1646.

��CDLX.

Descartes au [Marquis de Newcastle].

[Egmond, 23 novembre 1646.] Texte de Clerselier, tome I, lettre 54, p. : 37-163.

« A vn Seigneur », dit Clerselier sans donner de nom ni de date. Mais cette lettre correspond exactement à la fin de la précédente {cf.

a. Lettre CDLIV ci-avant, p. 543.

b. Lettre ci-dessous.

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