leur feront bien vite expier le crime de se mêler de notre institution en les brûlant tout vifs. »[1]
« Les Rédacteurs abolitionnistes feront bien de ne pas donner cours à leurs opinions au Sud, ce serait la mort instantanée pour eux ! »[2]
En 1860, le Charleston Religious Telegraph écrivait :
« Nous allons donc être débarrassés pour toujours de cette sale et infâme peste de l’abolitionnisme à laquelle aucune doctrine impie ou athée ne saurait se comparer ! Dans l’abolitionnisme se résument tous les fanatismes et toutes les scélératesses ! Comment se fait-il que l’on n’ait pas encore songé à purger la terre de ces diaboliques bandits ? »
Voilà, Messieurs, comme l’on conservait avec sollicitude ce présent du ciel, ce dépôt divin qui s’appelait l’esclavage ! !
Je regrette d’avoir perdu deux extraits de journaux catholiques du Sud dénonçant aussi l’abolitionnisme dans des termes tout-à-