Page:Dickens - Cri-cri du foyer, traduction Pichot, 1847.djvu/421

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
113
LES APPARITIONS DE NOËL.

les laissa rire, sachant bien qu’il vaut mieux rire que pleurer ; il avait lui-même le rire au cœur : cela lui suffisait.

Il n’eut plus de commerce avec les Esprits ; mais on disait de lui qu’il solennisait admirablement Noël : qu’on en dise autant de vous, de moi, de nous tous ! et ainsi, comme s’exprimait Tiny Tim, « Dieu nous bénisse tous tant que nous sommes ! »