Page:Dickens - Les Grandes Espérances, Hachette, 1896, tome 1.djvu/167

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Quand notre journée était terminée et que nous allions souper, la cuisine et le repas me semblaient prendre un air plus vulgaire encore que de coutume, et mon mauvais cœur me rendait plus honteux que jamais de la pauvreté du logis.

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