Page:Dickens - Les Grandes Espérances, Hachette, 1896, tome 1.djvu/190

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

elle eût particulièrement souhaité de s’assurer qu’il prenait sa réception en bonne part. Elle manifestait le plus grand désir de se le concilier, et elle avait vis-à-vis de lui cet air d’humble soumission que j’ai souvent remarqué chez les enfants en présence d’un maître sévère. Dans la suite, elle ne passa pas un jour sans dessiner le marteau sur son ardoise, et sans qu’Orlick vînt en se dandinant se placer devant elle, avec sa mine hargneuse, comme s’il ne savait pas plus que moi ce qu’il venait faire.

Séparateur