Vous ne savez ?… Sachez donc qu’elle est chez vous.
Chez moi !
Chez vous. Oui, chez vous… Et qui croyez-vous qui l’y ait introduite ?
Germeuil ?
Et celle qui l’a reçue ?
Mon frère, arrêtez… Cécile… ma fille…
Oui, Cécile ; oui, votre fille a reçu chez elle la maîtresse de son frère. Cela est honnête, qu’en pensez-vous ?
Ah !
Ce Germeuil reconnaît d’une étrange manière les obligations qu’il vous a.
Ah ! Cécile, Cécile ! où sont les principes que vous a inspirés votre mère ?
La maîtresse de votre fils, chez vous, dans l’appartement de votre fille ! Jugez, jugez.
Ah, Germeuil !… ah, mon fils ! que je suis malheureux[1] !
Si vous l’êtes, c’est par votre faute. Rendez-vous justice.
Je perds tout en un moment ; mon fils, ma fille, un ami.
C’est votre faute.
- ↑ La suite jusqu’à : Quel sera le reste de ma vie ? était coupé à la représentation.