Page:Dostoïevski - Les Frères Karamazov 1.djvu/170

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et se coucha. Tout son trouble intérieur était dissipé.

« Seigneur ! garde-les tous ; protège les malheureux et les révoltés, conduis-les, rectifie leurs voies. Tu es l’amour, tu peux à tous dispenser la joie ! » murmura-t-il en faisant des signes de croix ; puis il s’endormit du sommeil des innocents.