Page:Dostoievski - La femme d'un autre.djvu/101

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la jeune femme, courez, allez au troisième, vous les surprendrez peut-être.

— C’est cela, j’y vole. Mais assurément je ne trouverai personne. Elle est chez moi, à cette heure, elle dort. N’est-ce pas, je ne la trouverai pas, hein ?

— Ha ! ha ! ha ! ha !

— Hi ! hi ! hi ! hi ! Chi ! chi !

— Allez donc vite, dit la dame, et demain matin vous viendrez nous raconter ce qui se sera passé, et amenez-nous votre femme. Je veux faire sa connaissance.

— Certainement. Au revoir. Je suis charmé d’avoir fait votre connaissance, moi-même.

— Et la petite chienne ? N’allez pas l’oublier !

— Comptez-y, madame, répondit Ivan Andreïtch, qui avait déjà franchi le seuil