Page:Dostoievski - La femme d'un autre.djvu/71

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quelque maladie d’estomac… Chi ! chi !…

— Peut-être aussi la phthisie », a-t-il répété. Qu’en penses-tu, mon amie ?… chi ! chi ! — la phthisie aussi ?

— Ah ! mon Dieu ! pourquoi dites-vous cela !

— Oui, la phthisie aussi… Allons, mon amie, il faut te déshabiller et te coucher. Moi, je suis enrhumé.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

— Ouf ! fit Ivan Andreïtch, pour Dieu ! serrez-vous un peu !

— Qu’est-ce encore ? Ne pouvez-vous vous tenir tranquille ?

— Vous êtes irrité contre moi, jeune homme, vous voulez m’offenser, je le vois. Vous êtes probablement l’amant de cette dame…

— Silence !